La splendeur de la lune et des étoiles
La chaleur du soleil
Et la profondeur d'un cratère
Ayant vaincu la sècheresse du désert
La tempête de l'océan
L'ouragan du siècle
Et l'innondation des marécages.
J'essaie, en vain, d'écrire quelque chose pour te plaire.
De l'amour qui réside dans une rose
Au premier baiser d'un amant passionné
Du toucher d'une aile de papillon
Au souffle froid d'un vent d'automne
De sur ce papier, d'écrire ce que j'ose
Mots, phrases envolées
Lettres, chiffres gribouillés
Vers pensées et quatrins
À toi, sans risque, je m'expose.
De l'arme ayant servit à ma destruction
Au feu qui s'est éteint
Aux ténèbres qui tua ma lumière
À l'araignée dévorant sa proie
Vers moi, c'est jetté ta damnation
Sans danger, je crus
Sans risque, je crus
Sans mal, je crus
Et moi voilà pris dans son obligation.
« Point encore, dire osa ma bouche parle car insertitude me bouche les yeux et chaînes de velours tint prisonnier en liberté, mon coeur rougis de gris à mal ou bien ou mal aimant qui va, atteinte, atteinte, attende ton arrivée au quai. Nuage volant, envole envolé comme papillon ensommeillé. »
Tibi et Korbeau
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